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dimanche 31 août 2014

Amener/ apporter/ramener/ rapporter/emmener/emporter

Amener
Conduire vers un endroit ou vers une personne, un animal
 
Je vous amènerai Luc vendredi prochain.I'll bring you Luc next Friday.
Amène ta petite amie à la maison.Bring your girl friend to the house.
Qu'est-ce qui vous amène ici ?What brings you here?
Apporter (emploi familier et à éviter)
Amène les outils !Bring (get) the tools.
S'amener : (emploi familier =. Venir)
Elle s'amène tous les jours avec ses animaux.She turns up every day with her pets.

 

 

Apporter
Prendre avec soi et porter au lieu où est quelqu'un ou quelque chose, un objet inanimé ou un objet animé qui ne peut se mouvoir
 
Allez me chercher ce livre et apportez-le -moi.Go and get me this book and bring it to me.
porter quelque chose avec soi en venant
Cet étudiant a apporté son ordinateur en cours.This student brought his computer to the class.

 

 

Emmener
Mener avec soi une personne, un animal du lieu où l'on est vers un autre lieu
Il emmène ses enfants au football tous les soirs.He takes his children to soccer every evening.
J'ai emmené Julien au restaurant.I took Julian to the restaurant.
Voulez-vous que je vous emmène ?Would you like a ride?
emporter (emploi familier et à éviter)
Emmène le portable dans ses bagagesTake the laptop into his luggage.

 

 

Emporter
Prendre avec soi et porter ailleurs un objet inanimé ou un objet animé qui ne peut se mouvoir
Paul a emporté des magazines à la plage.Paul took magazines to the beach with him.
Elle emporte le bébé dans ses bras.She carries the baby in her arms.
Vous pouvez emporter ces livres.You can take all these books with you.
J'ai emporté des vêtements chauds.I took warm clothes with me.
Tu vas emporter ce vieux chien en peluche ?Are you going to take that old fluffy dog with you?
S'emporter : se mettre en colère
Il faut lui pardonner : Laurent s'est emporté.He must be forgiven: Laurent lost his temper.

 

 

Ramener
Amener de nouveau vers quelqu'un une personne, un animal
Il a ramené son copain chez lui.He brought his buddy back to his place.
Amener avec soi au lieu qu'on a quitté
Elle a ramené un chat à la maison.She brought a cat back home.
Faire revenir quelqu'un au lieu d'où il est parti
Elle a ramené Peter à la maison.She took Peter back home.
N'oublie pas de ramener ton frère.Don't forget to bring your brother back.
Il m'a ramené à la maison.He drove me back home.
Rapporter (emploi familier à éviter)
Si tu vas à la boulangerie, ramène-moi du pain.If you go to the baker's, bring me back some bread.
Se ramener : se résumer
Sa journée se ramène à deux mots : manger, dormir.His day comes down to two words: eat, sleep.

 

 

Rapporter
Apporter de son lieu d'origine un objet inanimé ou un objet animé qui ne peut se mouvoir
Nous avons rapporté les oeufs chez l'épicier.We brought the eggs back from the grocer's.
N'oublie pas de me rapporter mon livre.Don't forget to bring me back my book.
Il m'a rapporté les affaires de Pierre.He brought Peter's clothes back to me.
Apporter une chose au lieu où elle était
J'aimerais que tu me rapportes mon pull.I would like you to bring me back my pull over.
Rapporte la balle, Médor ! (un chien)Bring back the ball, Medor!
Produire, donner un bon revenu
Ces obligations rapportent beaucoup.These bonds give a good return.
Faire le récit de ce qu'on a vu et entendu
Vincent m'a rapporté l'incident.Vincent told me about the incident.

Conséquence et la concession

L'expression de la conséquence et de la concession

(ou opposition).

Certains mots (conjonctions de coordination, adverbes, locutions..) expriment la conséquence avec des nuances particulières :



De manière que – de sorte que – au point que – de telle façon que – ainsi – donc …



De sorte que marque une simple conséquence.

Ainsi introduit la conséquence de ce qui vient d'être dit.

Donc exprime une conséquence logique.



Certains mots (conjonctions de coordination, adverbes, locutions..) expriment la concession avec des nuances particulières :



Alors que – bien que – au lieu que -  même si – or – quoique – quoi que – quel que – tandis que – pourtant – toutefois…



Quoique marque une simple opposition.

Quoi que marque une opposition absolue.

Or marque une objection.

 

je suis en régime !

EXPOSER SUR JEUNESSE ET DROGUE


INRTODUCTION

Le trafic et l’usage des stupéfiants par les jeunes sont les formes les plus préoccupantes de la criminalité dans le monde. De nos jours beaucoup de jeunes se donnent à la consommation de la DROGUE. Et sont victimes de plusieurs maladies, d’accidents, de traumatismes. Ainsi le thème de notre exposé porte sur la jeunesse et la drogue. Face à ce thème on peut se poser ces questions : qu’est ce que la drogue ? Qu’est ce que la jeunesse ? Quel est l’impact de la drogue dans la jeunesse et la société ? Et comment lutter ?

         
I- LA DROGUE
                 
 Définition

La drogue est une substance étrangère à l’organisme qui n’est pas utilisée comme aliment, mais doit être éliminée après avoir subis des modifications de structures dans les cellules. Elle agit en dose très faibles, et à pour principal cible le cerveau limbique. Lorsqu’elle est consommée abusivement, elle devient toxique à l’organisme

                     
2- Les différents types de drogue

2-1- Drogue douce

Le Cannabis : il se présente sous trois formes.

Présentation :

- L’herbe (marijuana) :

Feuilles, tiges et sommités fleuries, simplement séchée. Se fume généralement mélangés à du tabac, roulée en cigarette souvent de forme conique (le joint, le pétard, le stick….).
- La Résine :
Résine obtenue à partir des sommités fleuries de la plante. Se présente sous la forme de plaques compressées, barrettes de couleur verte, brune ou jaune selon les régions de production. Se fume généralement mélangé à du tabac : « le joint ».
Le haschich est fréquemment coupé avec d’autres substances plus ou moins toxiques comme le henné, le cirage, la paraffine….
- L’huile :
Préparation plus concentrée en principe actif, consommée généralement au moyen d’une pipe. Son usage est actuellement peu répandu.

Effets :


Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère euphorie, accompagnée de rire, légère somnolence. Les usagers de tous âges consomment généralement pour le plaisir et la détente. Des doses fortes entraînent rapidement des difficultés à accomplir une tâche, perturbent la perception du temps, la perception visuelle et la mémoire immédiate et provoquent une léthargie.


2-1-Drogue dure


La Cocaïne

Présentation :

Se présente sous la forme d’une fine poudre blanche. Elle est extraite des feuilles de cocaïer.

Elle est prisée (la ligne de coke est « sniffée ») ; également injectée par voie intraveineuse ou fumée. La cocaïne est parfois frelatée, coupée ou mélangée à d’autres substances par les trafiquants, ce qui accroît sa dangerosité et potentialise les effets et les interactions entre des produits dont on ne connaît pas la composition.

Effets :

L’usage de cocaïne provoque une euphorie immédiate, un sentiment de puissance intellectuelle et physique et une indifférence à la douleur et à la fatigue.
Ces effets vont laisser place ensuite à un état dépressif et à une anxiété que certains apaiseront par une prise d’héroïne ou de médicaments psycho actif

2-3- Les substances psychotropes

Ce sont des produits pharmaceutiques obtenus pas des opérations complexes en laboratoire ou en usine. Ils sont seulement délivrés sur ordonnance médicale.
La production, le commerce des stupéfiants synthétiques sont placés sous contrôle des lois nationales et des conventions internationales.
Leur trafic illicite, qui prend de l’ampleur est du à un détournement à partir d’une source licite (laboratoire pharmaceutiques, pharmacies, fausses ordonnances médicales).

On distingue :


- Les Dépresseurs du système nerveux central, qui ralentissent l’activité du système nerveux central. Ils provoquent le sommeil (somnifères, hypnotiques), suppriment des états d’excitation ou guérissent des états de grande nervosité (sédatifs).


Exemples : les barbituriques, les dépresseurs


- Les Stimulants :

A l’inverse des dépresseurs, ils excitent et accélèrent l’activité du système nerveux central.
Parmi les stimulants, l’on retient les Amphétamines qui sont consommés abusivement.

-  Les Hallucinogènes :

On groupe sous cette appellation, toutes les substances qui perturbent l’activité mentale et engendrent une déviation du jugement avec distorsion dans l’appréciation des valeurs de la réalité. Les Hallucinogènes sont, comme leur nom l’indique, générateurs d’illusions et d’hallucinations et provoquent une exaltation des sensations et des sentiments.

-  Les Inhalants

On peut rassembler sous cette dénomination, une série de substances de nature chimique très divers (le benzène, toluène, acétate d’éthyle, hexane, CI 4, acétone, etc.….) qui existe dans la composition de certains produits ménagers ou industriels, est dont la caractéristique commune essentielle est d’être absorbée par une inhalation en vue de provoquer un état psycho actif par des toxicomanes d’un âge généralement bas.

Exemple : les colle, les solvants, les carburants, les gaz.


       
II- LA JEUNESSE

1-Définition

La jeunesse c’est un ensemble de jeunes dont l’age est compris entre l’enfance et l’age adulte. La jeunesse est le support de toutes les activités d’une société.
                     
2-Le rôle et l’importance de la jeunesse dans la société

La jeunesse joue un rôle important dans la société car elle favorise le développement, le renouvellement, de la société et elle est le pilier de la société car elle est vivante, courageuse et solide.

           
III- L’IMPACT DE LA  DROGUE SUR LA JEUNESSE.

1-Pourquoi les jeunes consomment- il la drogue ?


De nos jours beaucoup de jeunes consomment la drogue et cela est causer par :

-         la recherche de dépendance,
-         l’influence entre amis à prendre la drogue,
-         le manque d’activités pour occuper les jeunes,
-         le vagabondage,
-         la mauvaise interprétation des films qui met en jeu la drogue,
-         l’influence de la mode
-         faiblesse morale ;

2-Dangers de consommation de la drogue par les jeunes


* Dans l’organisme :


-         trouble mentale

-         hallucination
-         cancer
-         dépendance
-         cirrhose du foie
-         altération des organes de sens : vue, goût ouïe, odora
-         contraction du SIDA
-         overdose.
   *  Dans la société :

La jeunesse étant le pilier de la société, la consommation  de la drogue par les jeunes a des répercutions sur la société :


-         de nombreuse agression

-         développement du banditisme
-         viole et assassina
-         trafique illicite et contrebande.

3-conséquences  pour la société ou l’Etat


La consommation  des drogues accroît les charges sociales de la famille et de l’Etat :

-         lutte contre le trafic des drogues
-         encadrement du toxicomane
-         dépense inutile pour la réinsertion du toxicomane

4-lutte contre la consommation des drogues.


La cohésion de la communauté dépend de la santé physique, morale, sociale, mentale et économique de chacun de ses membres. Ainsi l’Etat doit :

-         veiller au respect des règles morales et sociales qui la régissent,
-         garantir l’avenir des jeunes,
-         sensibiliser les jeunes,
-         contrôler rigoureusement aux frontières pour éviter le trafique des drogues.

      

CONCLUSION

La consommation des drogues contribue à détruire la jeunesse, à accroître les charges sociales des familles, des collectivités, et des pouvoirs publics.
Lutter contre l’abus des drogues par les jeunes, c’est sauvegarder les ressources humaines, matérielles, et financières pour le plein épanouissement social de tous

Les avantages et les inconvénients d'internet après plus de 30 ans d'utilisation

Trente ans d'Internet: Ses avantages et ses inconvénients

Voila plus de vingt ans qu' Internet a envahi notre vie, nos lieux de vie et même de travail, et n'a pas arrété de nous apporter de nouvelles fonctionnalités. De ce fait, notre vie de tous les jours a changé considérablement au point qu'Internet en fait maintenant partie, de la nôtre et de celle de nos enfants, et ce à un niveau parfois considérable.

Nous avons donc un recul relativement considérable vis à vis de ce nouveau média qui nous permet d'émettre un certain jugement sur ses avantages, ses petits inconvénients et même ses gros défauts. Voiçi ce à quoi je suis personnellement arrivé.

Internet est à la fois un média de communication, personnelle ou publique, par lequel nous pouvons échanger avec les uns et les autres et exprimer nos avis et opinions sur tel ou tel sujet, et un média commercial qui permet de vendre ou de s'approvisionner dans toutes sortes de produits ou de services de tout types. C'est aussi un outil de recherche et de fourniture de savoirs comme le montre le développement du e-learning. C'est devenu aussi un outil de paiement,un outil de recherche d'informations pratiques ou académique, une télévision, un outil de jeux, seuls ou en réseau, un guide Michelin, un GPS, que sais je encore? Bref, au fur et à mesure que les applications s'en développent, que les matériels qui les supportent sont de plus en plus pratiques et performant, Internet devient le support audiovisuel que tous les français utilisent, de 7 à 77 ans comme Tintin.

Mais sa réussite principale, c'est d'avoir réussi à construire les fameux réseaux sociaux, les facebook, les twitters et autres ask.com. Sans compter l'autre outil indispensable à la pratique d'Internet, les moteurs de recherches, Google, Bing, Explorer ou le français Qwant.Tout un monde complexe qui vit en fin de compte exclusivement de la publicité. Bien sur les nouveaux utilisateurs de ce média gènent parfois tel ou tel fournisseur "ancien" du même service, ou telle ou telle corporation qui auparavant occupait le devant de la scène sans partage et qui se trouvent aujourd'hui confrontés à une concurrence tous azimuths.

Mais son gros avantage,à mon sens, a été de donner l'occasion aux petits, aux sans grade de cette société, d'exprimer leurs opinions face à ceux qui détenaient auparavant le savoir et l'information, le milieu politique et celui des médias. Au point que ces derniers s'énervent en quelque sorte de voir "leur" pouvoir de "dire les choses" et "d'édicter les grandes orientations du monde", confisqué par ce qu'ils considèrent comme des "non sachants". L'internet à fait surgir une instantanéité des faits et une multiplication des commentaires qui porte ombrage à la pensée unique des courants politiques et médiatiques traditionnels

Autre avantage, il a permis d'assurer la communication entre les hommes et les sociétés d'un bout du globe terrestre à l'autre de manière à ce qu'ils commencent à se comprendre. Il a fait baisser les dépenses de courriers et sauver quelques forêts au détriment des services postaux que, peu à peu, ici ou là, on voit se restructurer. Et puis il a crée le commerce électronique, plus pratique, plus rapide et moins cher. Je passe sur les milliers d'application pratiques qui permettent de régler tel ou tel petit problème ou de trouver telle ou telle information vite et bien.

Reste que son appport principal à nôtre civilisation a été de permettre l'émergence d'une nouvelle démocratie, participative comme dirait Madame Royal, qui permette de montrer des évènements qui, sans internet, seraient restés inconnus des populations et d'exprimer des opinions qui sans lui seraient restés lettre morte. Désolé messieurs nos politiques, il va falloir que vous adaptiez vos discours à ces opinions diverses que vous faisiez semblant d'ignorer. Au lieu de nous imposer haut et fort vos idées et vos idéologies, il vous faudra écouter ce qu'en disent vos électeurs. C'est vrai également du pouvoir médiatique qui depuis longtemps a abandonné le journalisme d'investigation au profit de la répétition des dépêches d'agences. Internet, ses tweets et ses vidéos les ont, en quelque sorte, remplacés

Par contre, Internet n'a pas que des qualités. Il a donné accès à des sites douteux dont la consultation peut être dangereuse  pour de jeunes adolescent(tes), voire des enfants, a permis la mise sur le marché de produits frelatés, particulièrement des médicaments, et a impulsé le marché de la drogue. Il a permis que des réseaux mafieux ou terroristes se constituent puis fonctionnent ouvertement au détriment de la sécurité publique

Mais surtout il consomme une énergie folle ! Car pour assurer la transmission d'un bout à l'autre du globe terrestre quasiment dans l'instant, il faut passer par des centaines de  Data Centers, Centres de données, qui sont constitués de dizaines de milliers de serveurs qui chauffent comme tout ordinateur et que donc il faut refroidir en permanence à grand renfort d'énergie. Tout cela pour se passer les uns aux autres des milliards de photos familiales qui n'offrent pas grand intêrét à toute personne étrangère aux correspondants intéressés. Ou pour jouer on line pendant des heures avec des correspondants de tous les pays du monde!

Or en ces périodes d'épuisement proche des gisements d'énergies fossiles, peut être devrions nous limiter le nombre d'heures de consultation de ces sites, ou le nombre d'amis Facebook, ou encore les millions de "likes"!

Je vous laisse y réfléchir

L'importance de l'eau dans la vie

L'eau est le premier constituant de l'organisme. Le corps d'un adulte en contient environ 66%, soit pour un homme de 75 kg, le poids de 50 kg d'eau ! La proportion varie même de 75% pour un nouveau-né à 60% pour un vieillard. Certains tissus en contiennent jusqu' à 85% (matières grises du cerveau) et d'autres seulement 25% (tissus adipeux).

L'eau a un rôle fondamental pour préserver la santé. C'est elle, en effet, qui permet de réaliser toutes les fonctions de l'organisme : digestion des aliments, circulation du sang, élimination des déchets, régulation de la température interne, etc... Mais chaque jour notre corps perd environ 2 litres et demi d'eau :

- par la respiration : 0,3 litre.
- par les matières : 0,2 litre.
- par la transpiration : 0,5 litre.
- par l'urine : 1,5 litre.

Les pertes dépendent aussi de l'activité musculaire et de la température ambiante. Elles peuvent atteindre parfois 4 à 5 litres lorsque la sudation est très intense par suite de gros efforts musculaires ou de température extérieure très élevée. Pour éviter la déshydratation, il est nécessaire de boire en moyenne 1 à 2 litres par jour, mais beaucoup s'imaginent répondre aux besoins de leur corps en buvant n'importe quelle boisson (soda, café, coca, bière etc...). A notre avis, du point de vue de la santé c'est une erreur.

L'eau est le seul liquide vraiment idéal car elle correspond aux nécessités profondes de l'organisme qui est de renouveler l'eau des cellules et de permettre les échanges cellulaires. Toutes les autres boissons ont des inconvénients.

-Les boissons sucrées et alcoolisées augmentent l'apport calorique et favorisent la déshydratation car la digestion du sucre et l'élimination de l'alcool exigent beaucoup d'eau.

-Les boissons diurétiques (café, thé, bière, vin blanc) stimulent les pertes d'eau dans les urines et contribuent à augmenter l'apport de toxines


Le développement de l'homme se fait dans l'eau

L'eau est indispensable à l'existence, au développement et la vie de l'homme. De sa conception à la réalisation de ses activités comme l'industrie ou l’agriculture, l'homme a besoin de l'eau.

Elle est une ressource si vitale qu'elle semble banale, mais sans elle, l'homme disparaitrait. L'eau est une ressource indispensable à l'existence de l'homme !

jeudi 28 août 2014

EVALUATION DES ACTIVITES DE L’ECRIT

EVALUATION DES ACTIVITES DE L’ECRIT


Proposition d’épreuves de fin de cycle primaire


SUJET N° 1

Texte :                                   La crème bulgare

On verse les yaourts
Et le sucre
Dans le saladier.
On râpe les pommes.
On verse le jus de citron.
On mélange bien
Avec une cuillère
On ajoute les noisettes.
On remplit les coupes.
On les place dans le réfrigérateur.
Recettes du monde

QUESTIONS
Lis le texte ci-dessus et réponds aux questions suivantes :

I- COMPREHENSION DE L’ECRIT

Complète le tableau suivant à partir du texte :


Les ingrédients    Les ustensiles      
-1    Les yaourts
-2    ……
-3    ……
-4    ……
-5    ……    -6    Le saladier
-7    ……
-8    ……
-9    ……
-10    ……   

2) Cette crème doit-elle se manger froide ou chaude ? Aide-toi du texte pour justifier ta réponse.
3) Tu dois donner la recette à un camarade : réécris-la en employant les verbes à l’impératif présent.
4) « On les place dans le réfrigérateur » : quel est le mot du texte qui est remplacé par le mot souligné ?

II- PRODUCTION ECRITE:
Pour améliorer les repas de !a cantine scolaire, la cuisinière vous demande d'apporter chacun une recette courte, facile à cuisiner et pas chère du tout.
Donne le titre à ta recette.
Dresse la liste des ingrédients et des ustensiles nécessaires.
Ecris la recette en numérotant les étapes. Conjugue les verbes au présent de l’indicatif et utilise le pronom « on ».


Grille de correction et Barème.


SUJET N° 1 : La crème bulgare

I- COMPREHENSION DE L’ECRIT (12 points)


Les ingrédients    Les ustensiles      
-11    Le sucre.
-12    Les pommes de terre.
-13    Le jus de citron.
-14    Les noisettes.    0,5 pt
0,5 pt
0,5 pt
0,5 pt    La cuillère
Les coupes    0,5 pt
0,5 pt   

2) Cette crème doit-elle se manger froide ?  (2pts)
Elle se met dans le réfrigérateur.               (2pts)

Verse…râpe… verse…mélange…ajoute…remplis…
place… (0,5 pt par réponse)

4) Les coupes (1,5 pt)

II- PRODUCTION ECRITE:  (8 points)


CRITERES    INDICATEURS    BAREME    NOTE      
Critère 1
Pertinence de la production    Indicateur 1
Respect de la silhouette du texte    Indicateur 2
Titre de la recette
    1pt + 1 pt    2 pts      
Critère 2
Cohérence sémantique    Indicateur 1
Recette de cuisine : ingrédients
ustensiles    Indicateur 2
Numérotation des étapes    1pt + 1 pt + 1 pt    3 pts      
Critère 2
Cohérence Linguistique    Indicateur 1
Verbes au présent de l’indicatif    Indicateur 2
Emploi du pronom « on »    2pt + 1 pt    3 pts      
Critère de perfectionnement
Présentation de la copie    ·1    L’élève présente sa copie proprement sans tâches et sans rature.
·2    Le respect de l’orthographe.    0,5 pt
0,5 pt      
TOTAL    8 pts + 1pt de bonification   






Proposition d’épreuves de fin de cycle primaire


SUJET N° 2

Texte :                                   Les filles du soleil

Je suis la mygale. Je viens d’Amazonie, c’est en Amérique du Sud, Quand j’écarte mes huit pattes, je mesure 25 cm ; je tiens à peine sur une feuille de papier blanc ; tout cela pour vous dire que je ne suis pas très grande de taille ! Mon corps et mes pattes sont couverts de poils.
Je vis dans un terrier que je creuse. Je tisse un filet de soie pour le fermer. Pour me nourrir, je suis la reine de la chasse : dès que je vois une proie passer devant mon terrier, je bondis sur le pauvre insecte et je le paralyse de mon puissant venin. Après, je le tire dans mon logis pour le manger tranquillement.

D’après passeport CE2/CM1
HACHETTE-EDUCATION - 1997

QUESTIONS
Lis le texte ci-dessus et réponds aux questions suivantes :

I- COMPREHENSION DE L’ECRIT

1) Quel est le nom de cette araignée ?
2) L'araignée dit: « Je mesure 25 cm ». D'après toi, cette araignée est petite, moyenne, grande on énorme ?
3) Cette araignée est dangereuse : relève, dans la deuxième partie du texte, trois expressions qui le montrent.
4) De quoi se nourrit cette, araignée ?
5) Donne 2 mots de la même famille que « chasse ».
6) «Je vis dans un terrier », « Je vois une proie ».
Donne les infinitifs des verbes soulignés

II- PRODUCTION ECRITE:
Pour enrichir, le fichier de la bibliothèque de la classe, tu dois rédiger un texte de présentation d'un insecte   
Pour réaliser ce travail :
1. Choisis un insecte dans la liste suivante : mouche, moustique, puceron, papillon, abeille.
2. Ecris un texte court dans lequel l'insecte choisi se présente à la 1ère  personne du singulier (comme dans le texte) en donnant : son nom, sa taille, sa couleur, son cri, et des informations sur sa nourriture, son habitation son activité.




Grille de correction et Barème.

SUJET N° 2 : Une araignée américaine

I- COMPREHENSION DE L’ECRIT (12 points)

1) La mygale
2) Enorme
3) « La reine de la chasse » (1 pt)
«  Je bondis »  (1 pt)
« Je paralyse »  (1 pt)
4)  Elle se nourrit d’insectes.
5)  Chasser – Chasseur
6)  Je vis = vivre
Je vois = voir

II- PRODUCTION ECRITE:  (8 points)


CRITERES    INDICATEURS    BAREME    NOTE      
Critère 1
Pertinence de la production    Indicateur 1
Respect de la contrainte : produire un texte de présentation    Indicateur 2
Choix d’un insecte dans la liste.
    1pt + 1 pt    2 pts      
Critère 2
Cohérence sémantique    Indicateur 1
Rubriques à renseigner : la taille, la couleur, le cri, la nourriture, l’habitation, l’activité.    Indicateur 2
Production de phrases qui ont du sens.    3pts + 1 pt     4 pts      
Critère 2
Cohérence Linguistique    Indicateur 1
Emploi de la première personne du singulier.    Indicateur 2
Verbes au présent de l’indicatif (comme dans le texte)    1pt + 1 pt    2 pts      
Critère de perfectionnement
Présentation de la copie    ·3    L’élève présente sa copie proprement sans tâches et sans rature.
·4    Le respect de l’orthographe.    0,5 pt
0,5 pt      
TOTAL    8 pts + 1pt de bonification   

Proposition d’épreuves de fin de cycle primaire

SUJET N° 3

Texte :                                   Une araignée américaine

Neuf planètes tournent autour du soleil. Mercure est la plus proche du soleil, Jupiter est la plus grosse, Pluton est la plus petite planète de la galaxie. Notre planète, la Terre, a une température agréable pour y vivre. On y trouve aussi de l’eau. Sans ce liquide précieux, les humains ne pourront pas vivre plus de 48 heures. L'eau est la plus grande richesse de la planète Terre.
Les autres planètes sont des déserts et elles sont très éloignées de la Terre : il faut plusieurs années de voyage dans l’espace pour y arriver à bord d'un vaisseau spatial.
D'après Encyclopédie
Juniors Editions BORDAS

QUESTIONS
Lis le texte ci-dessus et réponds aux questions suivantes :
I- COMPREHENSION DE L’ECRIT
1) Combien y a-t-ii de planètes autour du Soleil ? Relève le nom de celles qui sont citées dans le texte.
2) D'après le texte, qui sont les filles du Soleil ?
3) Par quelle expression le mot « eau » est-il remplacé dans le texte ?
4) « Les humains ne peuvent pas vivre plus de 48 heures [sans eau]», réécris en lettres le nombre souligné.
5) Complète le texte suivant, en écrivant les verbes entre parenthèses au temps qui convient :
« Demain, pour observer l'éclipse lunaire. Papa (sortir) son télescope. Je l’aider) à le porter. Nous (monter) à la terrasse. Nous nous (placer) près de lui pour bien voir le phénomène astral. »

II- PRODUCTION ECRITE:
Pour l'exposition sur « Le système solaire » rédige une fiche de présentation d'une planète. Pour cette fiche, sélectionne dans le texte les informations nécessaires. N'oublie pas de donner ton avis en 2 ou 3 phrases,













Grille de correction et Barème.

SUJET N° 3 : Une araignée américaine

I- COMPREHENSION DE L’ECRIT (12 points)

1) Neuf planètes
       Mercure – Jupiter – Pluton – Terre  (0,5 pt réponse)
2) Les filles du soleil sont les planètes.
3) L’expression : « liquide précieux »
4)  48 = quarante-huit heures.
5)  Sortira – Aidera – Monterons - Placerons

II- PRODUCTION ECRITE:  (8 points)


CRITERES    INDICATEURS    BAREME    NOTE      
Critère 1
Pertinence de la production    Indicateur 1
Reproduction de la silhouette du texte (fiche de présentation)    Indicateur 2
Sélection des informations dans le texte : nom, nom de la galaxie, taille, la couleur, la nature du sol.    1pt
+ 1 pt    2 pts      
Critère 2
Cohérence sémantique    Indicateur 1
Exploitation du texte proposé pour émettre des arguments.    Indicateur 2
Le commentaire (avis) de l’élève.    2pts
+ 2 pts     4 pts      
Critère 2
Cohérence Linguistique    Indicateur 1
-15    Phrases structurées.
-16    Ensemble cohérents.
-17    Emploi des connecteurs car- parce que    Indicateur 2
-18    Emploi du pronom «  je »
-19    Choix du temps des verbes en relation avec les connecteurs.    1pt
+ 1 pt    2 pts      
Critère de perfectionnement
Présentation de la copie    ·5    L’élève présente sa copie proprement sans tâches et sans rature.
·6    Le respect de l’orthographe.    0,5 pt
0,5 pt      
TOTAL    8 pts + 1pt de bonification   

L’écriture créative en classe de français langue étrangère

Introduction

En chaque personne sommeille un écrivain.
Voici le fondement d'une approche pédagogique de l'écrit centrée sur le« plaisir d'écrire ». Seulement, il faut réveiller l’écrivain-apprenti et lui faire découvrir que la rédaction de textes est à sa portée, même en langue étrangère. C'est la tâche du maître qui guidera l'apprenant sur le chemin de la réussite!
Comment s'y prendre pour aider les apprenants à développer leur compétence d'expression écrite? Quelques principes simples sont à la base de l'approche pédagogique que nous proposons.
1.    L'expression écrite sera abordée dans la perspective d'une approche communicative qui privilégie l'interaction. Les apprenants travailleront dans l'esprit de l'atelier d'écriture, lieu d'apprentissage et de partage d'expériences réelles ou imaginaires qu'ils construiront avec les connaissances et les moyens linguistiques dont ils disposent.
2.    Les activités d'expression écrite ne seront pas isolées mais elles seront précédées (ou suivies) d'autres activités d'expression orale, de lecture et de compréhension orale qui permettront de créer le contexte nécessaire à réaliser la tâche (on écrit toujours pour un lecteur-soi-même ou autrui) et à générer les idées.
 L'ensemble des activités visent à mobiliser et développer les connaissances linguistiques, sociolinguistiques, discursives (du fonctionnement des textes), référentielles (du monde) et socioculturelles. Elles permettent de réaliser des objectifs pédagogiques divers: objectifs fonctionnels, travail grammatical et lexical, maîtrise du registre de langue, connaissance du fonctionnement des textes et connaissance des cultures et des sociétés.
3.    Pour déclencher la production, nous utiliserons souvent un support tangible auditif ou visuel: un extrait de film, une image, un clip vidéo, un texte littéraire, une série de mots ou de phrases, un air de musique ou une odeur. De cette façon, nous ferons appel à tous les sens de l'apprenant et nous lui donnerons plus de chances d'accéder à son imaginaire.
4.    Les supports pédagogiques utilisés seront authentiques. Ils permettront à l'apprenant d'entrer en contact avec la culture littéraire et artistique en langue française et avec le monde tout entier qui entrera ainsi dans la classe.
5.    Les apprenants s'entraideront dans la phase de relecture et de correction de leurs textes. Le processus d'apprentissage se trouvera stimulé par l'interaction et le dialogue.
6.    L’enseignant laissera le plus possible de temps de parole et de travail aux apprenants. Il se limitera à mettre en route le processus et fonctionnera ensuite comme personne ressource à la disposition de l'apprenant. Il interviendra quand celui-ci le lui demandera.
7.    Les apprenants travailleront souvent de façon autonome (individuellement ou en groupes). Ils apprendront à trouver l'information dont ils ont besoin en consultant le dictionnaire, l'internet, une grammaire, l’enseignant, leurs compagnons de classe, etc.
8.    Que le texte soit rédigé individuellement ou groupes, il fera toujours l'objet d'une mise en commun collective sous forme de lecture à haute voix, de composition d'un recueil de textes (illustré) ou d'affiches apposées aux murs de la classe. De cette façon, le résultat de la création sera issu d'un effort collectif ce qui motivera davantage les apprenants. Chacun apporte sa pierre à l'édifice et contribue au projet dans la mesure de ses possibilités. Chaque individu sera mis en valeur par la réussite collective.
Comment générer des activités?

Les activités qui suivent dans ce dossier ne sont que quelques exemples d'une série infinie d’exercices possibles. Avec un minimum d'imagination, chaque enseignant est en mesure d'inventer les activités adaptées à sa classe.
Les caractéristiques d'une activité résultent de la combinatoire de plusieurs éléments parmi lesquels le maître opérera un choix.
1.    Le support de travail servant de déclencheur de l'activité: texte littéraire, chanson, extrait de film, clip vidéo, photo, peinture, poème, etc.
2.    Le type d'activité: reconstruire un texte décomposé, le reformuler ou produire un tout nouveau texte avec une contrainte ou non (par exemple: écrire en utilisant un certain nombre de mots obligatoires).
3.    Le genre de texte produit: poème, récit, lettre, télégramme, dialogue, interview, affiche publicitaire, histoire, roman, nouvelle, conte, critique de film, etc.
4.    La forme de regroupement des élèves pendant l'activité: travailleront-ils seuls ou en petits groupes?
5.    Les objectifs pédagogiques visés:
objectifs linguistiques fonctionnels (p.ex. donner un conseil, décrire un personnage, exprimer ses sentiments)
objectifs linguistiques grammaticaux, lexicaux
objectifs discursifs (connaître le fonctionnement des types de textes)
objectifs socioculturels (connaître le mode de vie et la culture d'un autre pays)
objectifs socio-affectifs.
Dans cette fiche pédagogique, nous vous proposons quelques idées d'activités d'écriture créative que nous avons organisées selon le genre de texte à produire. Nous espérons qu'elles vous inspireront pour en produire des centaines d'autres.

Pour écrire un récit ou une histoire

       « Ce qui s'est passé avant et ce qui s'est passé après »
Niveau: intermédiaire.
Objectifs: créer un univers romanesque, écrire un histoire, utilisation des temps du passé et du futur, utilisation des connecteurs chronologiques (ensuite, après, et puis, alors,...)
Support: photo.
Déroulement
1.    L’enseignant montre une photo.                                                                                                     Alternative: Parmi différentes photos ; chaque groupe de deux élèves en choisit une. On peut  présenter une photo au tableau. Cela fait l'effet d'une affiche.
2.    En groupes de deux, les élèves créent une identité aux personnages et crée un univers romanesque en répondant aux questions: QUI?, QUOI?, OU?, QUAND?, COMMENT?, POURQUOI?
3.    Ensuite l'un d'eux écrit l'histoire de ce qui s'est passé avant et l'autre écrit l'histoire de ce qui s'est passé après le moment représenté sur la photo.
4.    Les apprenants s'échangent les textes et chacun relit le texte de son pair. Ils se font des commentaires sur la forme, les imprécisions, etc.
5.    Chaque élève retravaille sont texte.
6.    Les apprenants remettent leurs textes au maître qui les corrigera.
7.    L'un des prochains cours, les élèves font une lecture expressive de leurs textes.
II. Pour rédiger une carte postale

      Envoyer une carte postale pendant les vacances.

Niveau: intermédiaire.
Objectifs: lexique des pays et des vacances, écrire une carte postale à partir d'une amorce donnée.
Support: une carte postale 
Déroulement
1.    Remue-méninges concernant le lexique: Nommez les parties de la carte postale que vous connaissez.
lisez chacune d'entre elles,
(Le maître dresse un glossaire au tableau)

2.    Ecrivez une carte postale pour parler de vos vacances.
Parlez, dans la lettre, de vos activités pendant vos vacances en faisant référence au pays, ville ou région où vous vous trouvez.
3.    Les élèves s'échangent leurs textes et chaque texte est lu à haute voix.
4.    Ensuite une lecture expressive.
5.    le maître distribue les données qui aident à rédiger une carte postale.

Voici quelques données qui vont t'aider à rédiger une carte postale.


1) La date :
- Le jour du mois (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 9, 10, 11, 12, 13,14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31), le mois (janvier, février, mars, avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, novembre, décembre), +  l'année.
Exemple : le 7 août 2004 ,   (Attention ! N'oublie pas l'article le au début de la date).   
 
2) La formule d'appel :

- Si tu écris à un garçon,  tu peux écrire Cher + le prénom de ce garçon
- Si tu  écris à une fille, tu peux écrire Chère + le prénom de cette fille.
- Si tu écris à plusieurs personnes (masculin) : Chers + les prénoms, les noms
- Si tu écris à plusieurs personnes (féminin) : Chères + les prénoms, les noms
Exemple : Cher Claude, / chère Christine, Chers cousins,  / Chères Bernadette et Amélie,
(Attention ! N'oublie pas la virgule après le prénom).   
 
3) Est-ce que tu veux préciser l'endroit où tu es ?
Voici quelques données intéressantes.
a) Les pays :
- Je suis                                                                   - Je suis
   en France                                                                  au Portugal
   en Italie                                                                    au Brésil
   en Tunisie                       mais                                   au Maroc
   en Belgique                                                               au Canada
 
  b) Les villes ou les villages :
- Je suis
   à Paris                à Constantine        à Alger               à Rome
   à Bejaia              à Ghardaïa            à Oran                à Tamanrasset

c) La nature :
- Je suis dans le Djurdjura                          - Je suis à la campagne    
             dans les Aurès                             -  Je suis en Kabylie
             dans les Hauts plateaux                - Je suis à la plage
                                                               - Je suis au Sahara    





 
4) Est-ce que tu veux raconter des évènements au passé, au présent ou bien au futur ?

Pour bien préciser à quel moment ont eu lieu les événements que tu racontes, tu devras utiliser des marqueurs temporels et des verbes conjugués correctement.

a) Les marqueurs temporels :

- Passé
   Hier                              Il y a deux jours
   Hier soir                       La semaine dernière

- Présent
   Aujourd'hui                    Maintenant
   Ce matin                       Cette semaine
  
- Futur
   Demain                         Dans deux jours
   Demain après-midi         La semaine prochaine
  
b) Les verbes :

- Infinitif
   Acheter          Manger      Penser       S'amuser        Connaître    Faire
   Aller               Partir         Visiter       Se reposer      Être             Arriver
             
- Passé
   J'ai acheté         J'ai mangé           J'ai visité                      J'ai connu
   Je suis allé(e)    Je suis parti(e)     Je me suis amusé(e)     J'ai été                    
   Je suis arrivé(e) J'ai pensé            Je me suis reposé(e)     J'ai fait

- Présent
   J'achète                Je m'amuse          Je fais               Je pense
   Je vais                  Je connais            Je mange          Je visite
   J'arrive                 Je suis                  Je pars             Je me repose

- Futur
   J'achèterai           Je connaîtrai             Je mangerai
   J'irai                   Je serai                     Je partirai
   J'arriverai            Je ferai                     Je penserai
   Je visiterai           Je m'amuserai           Je me reposerai   





 
5) Est-ce que tu veux expliquer les activités que tu fais ?
- Visiter un village
- Aller au musée /au cinéma /au théâtre
- Aller  à la plage / à la campagne / à la montagne
- Acheter des cadeaux pour tes amis
- Se reposer sur la plage
- Faire du sport
- Faire des randonnées
- Faire des photos
- Manger des produits typiques de la région
- S'amuser avec des amis

* Attention ! Les verbes sont à l'infinitif, il faut les conjuguer   
 
6) Est-ce que tu veux faire des appréciations ?
- C'est beau                      - C'est sympa
- C'est passionnant            - C'est nul
- C'est intéressant              - C'est génial
- C'est amusant                 - C'est délicieux
- Les gens sont chaleureux
- Les gens sont très sympathiques
- J'ai connu un garçon très gentil / une fille très gentille.
- L'ambiance est très bien            
- J'ai beaucoup apprécié ce spectacle   
 
7) Est-ce que tu veux dire quelque chose sur la météo ?
- Il neige
- Il pleut
- Il y a des nuages tous les jours
- Il fait beau
- Il fait chaud
- Il fait froid
- La température est agréable
   
 
8) Pour terminer ta lettre :
- Je t'embrasse
- Grosses bises
- À bientôt
- Amicalement
- Amitiés
- Une pensée très affectueuse

·6    Attention ! N'oublie pas de signer ta lettre.
   

ACTE DE LECTURE Réflexion préliminaire sur l’acte de lecture LIRE C'EST COMPRENDRE Qu'est ce que lire ?

ACTE DE LECTURE

Réflexion préliminaire sur l’acte de lecture

LIRE C'EST COMPRENDRE

Qu'est ce que lire ?

« Le verbe «Lire» avait pour les anciens une signification qui mérite d'être rappelée et mise en valeur en vue d'une compréhension de la pratique littéraire. «Lire» était aussi 'ramasser', 'cueillir, 'épier', 'reconnaître des traces  'prendre’, 'voler'. «Lire» dénote donc une participation agressive, une active appropriation de l'autre »
(J. Kristeva).

«Lire» c'est 'reconnaître' les signes graphiques d'une langue, former mentalement ou à voix haute les sons que ces signes ou leur combinaison représentent et leur associer un sens.
(Dictionnaire Larousse)

De ces deux définitions, il ressort que la lecture est essentiellement définie comme pratique signifiante : lire, c'est saisir et donner du sens à un texte ; c'est découvrir, organiser et interpréter la signification de ce qui est écrit.

Lire est une activité complexe d'analyse et de synthèse, conduisant à la compréhension d'une pensée à partir de la combinaison de certaines unités. Chez les jeunes apprenants, ces unités sont les signes écrits, chez l'étudiant universitaire, les unités deviennent plus complexes. Dans son acte de lecture, le lecteur efficace 'reconnaît' globalement des 'traces' et mène en même temps une activité analytique, en vue d'une synthèse ultérieure de ces traces. Mis en situation active, le lecteur élabore une interprétation   cohérente   et   riche   d'un   ensemble singulièrement codé.

Ainsi, la lecture est abordée dans sa vraie fonction qui consiste à donner sens à un texte. Et, pour qu'elle soit efficace, elle utilise des opérateurs qui sont censés rendre compte de ce sens. Néanmoins, un savoir-lire qui ne serait qu'un montage de mécanismes sans recherche de signification serait dangereusement illustré. La lecture est une activité de communication entre le lecteur et le texte ; et les techniques, pour essentielles qu'elles soient, ne sont jamais que des outils qu'un individu invente pour répondre aux questions qui se posent à lui.


QUELS SAVOIRS POUR LIRE LES TEXTES LITTERAIRES

Lire, c'est donner du sens. Et pour que le sens soit construit dans de bonnes conditions, le lecteur doit mobiliser et combiner deux sources d'informations :
• ses connaissances antérieures concernant le sujet ;
• la matérialité du support.

La lecture est donc une négociation entre ce que l’élève sait et ce qu'il ne sait pas et s'apprête à découvrir ; le texte.

Que doit-il savoir pour lire ce qu'il ne sait pas ?

Expliquer un texte, rendre compte de la complexité de son sens, mobilisent des instruments d'analyse et des nouons que l'étudiant doit maîtriser et qui sont l'objet de notre manuel.

Seulement, malgré la maîtrise de ces instruments d'analyse et de ces notions, l'étudiant ne peut faire l'économie d'un certain nombre de questions.

La lecture d'un texte littéraire doit mettre au premier plan la spécificité du texte à lire et le développement du processus   de   construction   du   sens :   le   choix, l’instrumentalisation et l'adoption des outils ne devant s'effectuer que dans ce cadre.

Faute de cette préoccupation, la pratique devient mécanique et appauvrit le texte pour ne pas dire l'assassine. Les outils de lecture ne sont là que pour se mettre au service de l'accès au sens qui est, rappelons-le, la finalité de toute vraie lecture.

L'accès au sens, c'est sur cela qu'il faut prendre appui. La recherche du sens constituant l'objet de la lecture, les outils, les méthodes, les grilles d'analyses ne sont là que pour justifier, valider, corriger ou nuancer ce sens. D'ailleurs, la lecture active se déclenche d'abord par l'émission d'hypothèses de sens.

Est nommé ‘hypothèse de sens’ toute lecture-interprétation qui n'est pas justifiée par des éléments (intra)textuels et qui n'est pas partagée par tous. Lire, c'est nécessairement lancer des hypothèses, être dans l'avenir du texte, se projeter dans une virtualité du sens que la mise en relation d'un nombre croissant d'indices vient corroborer et dès lors, imposer à chacun.



Avant toute analyse méthodique, il y a donc, dans un premier temps, une appropriation personnelle du sens. Est 'méthodique’, dès lors, tout apport méthodologique, culturel, instrumental qui concourt à l'élaboration du sens.

C'est à ce deuxième niveau d'approche que se situe notre manuel dont le but n'est pas de donner un 'modèle idéal de lecture', mais d'amener l'étudiant à développer des compétences de lecture pour une compréhension riche et diversifiée du texte.

L'élève doit être capable de s'ouvrir à la diversité des composantes du texte tout en étant conscient des choix méthodologiques qu'il doit opérer.

Ainsi, en termes d'actions, l'élève devra s'initier :
aux problèmes de la définition des notions de texte et de littérature ;
aux codes et aux démarches dont un lecteur a besoin pour donner sens et valeur à un texte.

Le piège à éviter est l'utilisation mécanique des outils méthodologiques. C'est pourquoi, il est important que l'élève ait une approche 'intelligente' des outils qu'il rattachera toujours à leur origine théorique. Toute approche méthodologique a ses fondements ‘épistémologiques’ et ses présupposés théoriques, (toute grille d'analyse n'est pas valable pour tout texte). La rupture avec ses origines théoriques appauvrit l'outil méthodologique, qui est un instrument complexe, en le transformant en un outil médiocre et souvent nul.

C'est par la maîtrise d'outils de référence que l'élève apprendra à bien les utiliser en les organisant et en les mettant en système. Attitudes qui ne peuvent naître que d'une réflexion sur leurs stratégies effectives d'utilisation. D'où un recours et un retour constants à l'écrit étudié.

OBJECTIF DU MANUEL

La lecture met donc en œuvre une double compétence qui se traduit en une double action :
Une activité cognitive complexe sur un énoncé écrit (questionnement de l'écrit, anticipations sémantiques, prélèvements de marques matérielles en vue d'émission et de vérification des hypothèses de sens...) ;
Une stratégie tenant compte du type d'écrit.



En abordant l'étude d'un texte littéraire, l'élève doit donc se poser un certain nombre de questions qui le conduiront à piéger le sens du texte, à voir comment ce sens est construit et à ouvrir le texte sur d'autres textes.
Lire un texte nécessite de la part de l'élève quatre attitudes :
Situer l'œuvre dont est extrait le texte dans l'histoire littéraire ;
Interroger le genre du texte ;
Interroger le type du texte ;
Interroger la matérialité du texte.

Notre objectif dans ce présent manuel est de réunir, d'une façon intégrée pour permettre à l'élève de les mobiliser, des savoirs nécessaires pouvant l'aider à répondre à ses questionnements.

L'élève ne trouvera pas dans les pages qui suivent une méthode de lecture, mais la relation de plusieurs séquences d'interrogation du texte, dont nous voudrons montrer la cohérence pour permettre à l'étudiant d'en favoriser la convergence.

On apprend à lire un texte par un travail personnel et ininterrompu d'organisation et de dépassement des stratégies.

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Exploiter le Texte, le Paratexte, l’Intertexte

I- INTERROGER LA PERIPHERIE DU TEXTE

Définition

La périphérie du texte est tout ce qui entoure le texte et n'est donc pas le texte. On l'appelle plus communément le paratexte.

Le paratexte est tout ce qui accompagne le texte, qui n'est pas écrit par l'auteur et que l'on ne peut pas évoquer comme partie du texte. Le paratexte n'appartient pas au texte, mais peut être utilisé comme première prise de contact avec lui.

2- Les composants du paratexte
a. Les références
Le nom de l'auteur ;
Le titre de l'œuvre d'où est extrait le texte ;
La date de parution de l'œuvre et l'édition.



Ces éléments peuvent servir à éclairer le texte. Ils donnent au texte un contexte dans l'histoire littéraire. Ils rattachent le texte à un mouvement littéraire ou à un événement historique. Par exemple, un texte écrit par un auteur algérien et daté de 1993 ne peut que porter des marques de la situation de violence dans laquelle vit le peuple algérien. Même si ce texte n'appartient pas à l'écriture de l'urgence, il en porte les stigmates.

b. Le titre du texte

Parfois le texte porte un titre qui a été donné non par l'auteur lui-même, mais par quelqu'un d'autre (l'auteur du manuel où est inséré le texte par exemple). Le titre éclaire le texte, mais cet éclairage lui est donné par quelqu'un d'autre que l'auteur.

Ainsi, faut-il le prendre avec beaucoup de précaution et surtout ne pas le considérer comme une partie du texte.

3- Le chapeau

Le chapeau est une petite introduction (imprimé en général en italique) qui précède le texte et en donne des informations nécessaires à la compréhension de l'extrait :
situation du texte ;
précision sur les personnages et sur l'intrigue.

Ces précisions permettent non seulement de comprendre certains éléments narratifs du texte mais aussi de situer le texte dans son contexte historique, littéraire ou biographique, d'en expliquer certains aspects.

Qu'il s'agisse de références ou d'un   paragraphe de présentation, le paratexte donne des informations nécessaires à la compréhension du texte.

N.B. : On peut lire et comprendre un texte même en n'ayant pas lu l'ouvrage d'où le texte est tiré. Ne pas connaître l'auteur et le courant littéraire auquel il appartient est plus gênant : cela nous prive de pistes de recherches.
   
Bien que le paratexte apporte souvent la possibilité d'émettre des hypothèses de sens, il a ses limites : en aucun cas on ne peut faire du texte un écho amplifié du paratexte. On ne peut pas se référer au paratexte comme on s'appuie sur le texte lui-même.





II- OUVRIR LES TEXTES VERS LES AUTRES TEXTES

1- L'intertextualité : Définition

On ne peut envisager un texte sans penser à ceux qui ont été écrits auparavant. En général tout texte est à différents degrés une     « réécriture ». En effet, les thèmes traités par les auteurs sont en nombre limité. Pourtant les textes développant ces thèmes sont infiniment variés car chaque auteur a sa façon originale de les dire en s'inscrivant dans une tradition pour l'imiter ou la rénover, la suivre ou la contester.

Tout texte porte en lui les traces d'un héritage culturel : à travers lui peuvent se déceler les influences dont il porte témoignage, consciemment ou inconsciemment. Ainsi, l'auteur construit   son   texte   en   exploitant,   volontairement   ou involontairement, des fragments de textes antérieurs. C'est cela l'intertextualité, notion mise en place par Bakhtine dans les années 20 et reprise par Kristeva dans les années 60. Dans Sémiotiké (le seuil  1969), Kristeva définit l'intertextualité comme une « permutation de textes » : « Dans l'espace d'un texte plusieurs énoncés pris à d'autres textes se croisent et se neutralisent ». Il ne s'agit pas, pour Kristeva, de plagiat ou d'imitation. C'est pourquoi lire un texte c'est l'ouvrir vers les autres textes qui ont participé à son tissage, sa construction. Lire un texte c'est retrouver dans sa textualité les traces de textes antérieurs, fragments disséminés. C'est lire l’intertexte.
   
Gérard Genette définira, après Kristeva, l'intertextualité de manière plus large. Dans Palimpsestes (Le Seuil) il désigne par transtextualité « tout ce qui met (un texte) en relation manifeste ou secrète, avec d'autres textes ». La transtextualité présente ' genres de relation :
L’architextualité : la relation qu'un texte entretient avec la catégorie générique à laquelle il appartient ;
La paratextualité : la relation d'un texte avec son paratexte (préface, exergues, postfaces, etc.) ;
La métatextualité : la relation de commentaire qui « unit un texte avec un autre texte dont il parle, sans nécessairement le citer (le convoquer), voire, à la limite, sans le nommer... C'est par excellence la relation critiquer ».
L’intertextualité : la relation de plagiat, citation, allusion.





Les différentes formes de l’intertextualité

Par rapport à Kristeva, Genette donne de l'intertextualité une définition plus restrictive. C'est « la relation de coprésence entre deux ou plusieurs textes, (...) la présence effective d'un texte dans un autre ». Elle comprend :

La citation : Elle est la forme la plus explicite, la plus visible et la plus littérale de l'intertextualité. Elle est reconnue grâce à des codes typographiques : (emploi des guillemets, des caractères italiques, décalage de la citation...). La citation permet très souvent à l'auteur de situer l'œuvre dans un héritage culturel et d'indiquer au lecteur la tradition à partir de laquelle il doit lire le texte.
Le plagiat : C'est un emprunt non déclaré, mais littéral à un texte littéraire. Aucune référence n'est indiquée.
L'allusion : Elle est la forme la moins explicite et la moins littérale. C'est un énoncé dont la pleine intelligence suppose la perception par le lecteur d'un rapport entre le texte cible et un autre auquel renvoie nécessairement telle ou telle inflexion, autrement non recevable. L'allusion repose sur l'implicite et suppose que le lecteur comprenne qu'il s'agit d'un jeu de mots ou d'un clin d'œil.

3- Le rôle et le fonctionnement de l’intertextualité au niveau des genres

L'imitation des œuvres des écrivains de l'antiquité gréco-romaine a été au centre de l'esthétique des auteurs du XVIe siècle (renaissance, la Pléiade) et de ceux du XVIIe siècle (Racine, Corneille, La Fontaine, ...). Seulement, comme le dit La Fontaine, il ne s'agit pas d'un esclavage : « Mon imitation n'est pas esclavage », mais d'une reconnaissance de la qualité des Anciens et d'un désir de les dépasser. Pascal le conçoit ainsi : « L'imitation est une émulation. Qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau. La disposition des matières est nouvelle »

4- Stratégies de lecture

Pour lire un texte, le faire vivre, il faut donc l'ouvrir vers les autres textes dont il porte traces. Le lecteur averti doit savoir déceler ces autres textes, et lire l'intertextualité. C'est-à-dire rechercher comment un texte fait écho à d'autres textes implicitement   ou   explicitement,   par   allusion,   citation, transformation. Dans sa lecture, il recherchera les rapports que le texte entretient avec d'autres textes (emprunts, sources, ...). La comparaison entre le texte cible et les autres textes conduisent à saisir la spécificité du texte étudié et l'originalité de la mise en œuvre du thème présenté.

Il est donc souhaitable, sinon nécessaire de connaître un grand nombre de textes pour avoir des points de repères et pouvoir .apprécier le traitement particulier d'un thème dans un texte donné.